L’ancien chef des services secrets intérieurs sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, Bernard Squarcini, a toujours pris la défense de l’intermédiaire Alexandre Djouhri, l’un des principaux mis en cause de l’affaire des financements libyens, avec le même argument : certes, il fait des affaires, mais il travaille pour le drapeau français.
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