Douze. C’est le nombre de lignes qu’il avait fallu, en décembre 2017, au juge Serge Tournaire pour résumer dans un mandat d’arrêt les lourds soupçons judiciaires pesant sur l’intermédiaire Alexandre Djouhri, protagoniste central de l’un des volets de l’affaire Sarkozy-Kadhafi qui a été remis, jeudi 30 janvier, par les autorités britanniques à la justice française, deux ans après avoir été interpellé à Londres.
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