Libertés publiques

Vidéosurveillance algorithmique : Briefcam bousculé devant le tribunal administratif de Grenoble

Le tribunal examinait un recours demandant l’annulation de la décision d’installation du logiciel de vidéosurveillance algorithmique par la ville de Moirans. Saisie, la Cnil estime illégal son usage par les policiers municipaux. La rapporteure publique soutient la requête, mais a ouvert la voie à une régularisation de la situation.

Jérôme Hourdeaux

Grenoble (Isère).– La rapporteure publique du tribunal administratif de Grenoble a prôné, lors d’une audience qui s’est tenue vendredi 20 décembre, l’annulation de la décision de la ville de Moirans d’utiliser le logiciel de vidéosurveillance algorithmique de la société Briefcam.

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