Vendredi 22 janvier, la Gauche moderne du sous-ministre d'ouverture Jean-Marie Bockel a réuni les nationaux-républicains de feu la fondation Marc-Bloch autour d'Henri Guaino pour discuter de «la morale en politique». Séquence nostalgie.
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MiracleMiracle des idées que de faire croire à ceux qui les portent qu'ils ne sauraient vieillir? Ou simple effet d'optique? C'était vendredi 22 janvier, dans la prestigieuse salle Colbert au premier étage de l'Assemblée nationale, qu'une petite foule se pressait pour participer à une réunion-débat de la Gauche moderne, supposée composante de gauche de la majorité présidentielle, sur le thème de la relance et «du nouvel élan pour la France». Ce mouvement, emmené par le sous-ministre d'ouverture, Jean-Marie Bockel, ex-représentant ultra-minoritaire du blairisme au sein du Parti socialiste, participe au gouvernement. Mais samedi matin encore, il constate que la réciproque n'est pas vraie et demande, dans Le Figaro, à être «respecté par l'UMP».