Mâchoires cassées, membres fracturés, visages tuméfiés. Plus d’une centaine de blessés graves ont été recensés parmi les participants au mouvement des « gilets jaunes ». Pour la CGT, l’ampleur du phénomène ne laisse guère place au doute : « Il y a une volonté de blesser pour punir les manifestants, pour faire peur à la population », estime le secrétaire général de l’Union départementale de Paris, Benoît Martin.
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