Sivens et la mort de Rémi Fraisse

La justice enterre l’affaire Rémi Fraisse en confirmant le non-lieu en faveur du gendarme

La Cour de cassation a rejeté mardi le pourvoi de la famille de ce jeune militant pacifiste tué par la grenade offensive d’un gendarme mobile le 26 octobre 2014 à Sivens (Tarn). Un enterrement judiciaire critiquable. Mediapart publie le document.

Michel Deléan

Il était prévisible, il est maintenant effectif. L’enterrement judiciaire de l’affaire Rémi Fraisse, ce jeune pacifiste tué à 21 ans par la grenade offensive d’un gendarme mobile, le 26 octobre 2014 à Sivens (Tarn), est prononcé.

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