Toulouse-Blagnac: le scandale Macron

La privatisation de l’aéroport de Toulouse s’enlise dans les scandales : pacte secret entre l’État et un groupe chinois, détournement des réserves financières de l’entreprise par les nouveaux actionnaires… Ceux-ci envisagent même de revendre leurs titres pour 500 millions d’euros, soit une plus-value de 192 millions.

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Décidée en 2014 par Emmanuel Macron, du temps où il était ministre de l’économie, la privatisation de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac (SATB) n’aura été qu’une suite interminable de scandales. Et le dernier en date risque d’avoir un retentissement encore plus important que ceux qui l’ont précédé : les actionnaires chinois qui ont racheté à l’État 49,9 % du capital de la société ont en effet décidé de revendre leur part, et de faire au passage une belle galipette financière. Le bilan de l’opération de privatisation est accablant pour le chef de l’État, l’histoire s’apparentant à une opération de prédation sur un bien public.

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