C'était l'une des têtes de gondole de la Macronie lors des législatives de juin. Le profil idéal du serial entrepreneur qui crée des emplois par milliers (« plus de 5 000 » en 35 ans, selon lui) dans le numérique, phosphore sur la « disruption généralisée » et accompagne Emmanuel Macron depuis le début de sa marche vers l’Élysée. À 59 ans, Bruno Bonnell, embarqué dans l’aventure macroniste depuis Lyon par le ministre de l'intérieur Gérard Collomb, tombeur de l'ancienne ministre socialiste Najat Vallaud-Belkacem dans la 6e circonscription du Rhône, qui recouvre le territoire de la commune de Villeurbanne, devait incarner cette Assemblée nationale new age qui renoue avec le monde de l'entreprise, les « start-up » et la « french tech ».
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