Si la décision de première instance avait été une gifle pour Amazon, l’arrêt qui vient confirmer ce jugement, dix jours plus tard, n'est pas loin du coup de massue. Vendredi 24 avril, la cour d’appel de Versailles a condamné le géant américain du commerce en ligne à respecter le droit du travail, en procédant à une rigoureuse évaluation des risques professionnels liés à l’épidémie de Covid-19 dans l’ensemble de ses six entrepôts français, et à y associer étroitement les représentants de ses quelque 10 000 salariés.
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