Alain Finkielkraut au secours de Nicolas Sarkozy : la corruption des mots
Dans « Le Figaro », l’académicien se dit « consterné » par l’arrêt de la cour d’appel de Paris condamnant l’ancien président, qu’il juge « aussi révoltant que grotesque ». Pourquoi pas ? Problème : l’intellectuel appuie sa colère sur des arguments puisés dans les eaux les plus saumâtres de la fausse information et du complotisme.
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UneUne semaine après la confirmation de la condamnation d’un ancien président de la République pour « corruption » et « trafic d’influence » – une première dans l’histoire politique et judiciaire française –, Le Figaro a voulu recueillir les vues de l’académicien Alain Finkielkraut. Chantre de l’anti-modernité, homme de lettres adulé des milieux conservateurs, Alain Finkielkraut s’est dit « consterné » par l’arrêt de la cour d’appel de Paris dans l’affaire Bismuth, qu’il juge « aussi révoltant que grotesque ».