France Parti pris

Alain Finkielkraut au secours de Nicolas Sarkozy : la corruption des mots

Dans « Le Figaro », l’académicien se dit « consterné » par l’arrêt de la cour d’appel de Paris condamnant l’ancien président, qu’il juge « aussi révoltant que grotesque ». Pourquoi pas ? Problème : l’intellectuel appuie sa colère sur des arguments puisés dans les eaux les plus saumâtres de la fausse information et du complotisme.

Fabrice Arfi

Une semaine après la confirmation de la condamnation d’un ancien président de la République pour « corruption » et « trafic d’influence » – une première dans l’histoire politique et judiciaire française –, Le Figaro a voulu recueillir les vues de l’académicien Alain Finkielkraut. Chantre de l’anti-modernité, homme de lettres adulé des milieux conservateurs, Alain Finkielkraut s’est dit « consterné » par l’arrêt de la cour d’appel de Paris dans l’affaire Bismuth, qu’il juge « aussi révoltant que grotesque ».

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