Gauche(s)

Un groupe «rose-rouge-vert» à l’assemblée, ce n’est pas maintenant

Portée par quatre députés éloignés de leur parti d’origine, l’initiative d’un rassemblement parlementaire réunissant déçus du PS, écolos et Front de gauche fait long feu. Mais l’idée n’est pas abandonnée pour autant.

Stéphane Alliès

Un coup d’épée dans l’eau stagnante. Lancée il y a deux semaines via une tribune publiée dans Libération, la tentative de recomposition de la gauche parlementaire n’a jusqu’ici pas dépassé ses quatre promoteurs initiaux (l’ex-socialiste Philippe Noguès, l’ex-Nouvelle donne Isabelle Attard, l’ex-communiste Jacqueline Fraysse et l’écologiste Sergio Coronado). Hormis Jean-Luc Mélenchon dans nos colonnes, qui y voit « une occasion unique d’accélérer le cours de l’histoire », la proposition du quatuor a reçu peu d’échos.

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