Contrôle au faciès : l'Etat esquive le débat au tribunal
Treize citoyens, convaincus d'avoir été victimes de contrôles de police au faciès, ont attaqué l’État pour « pratique discriminatoire ». Un an et demi après avoir été déboutés en première instance, leurs avocats ont de nouveau plaidé, mercredi 25 février, devant la cour d'appel de Paris. Compte-rendu d'audience.
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Treize Français se retrouvent une nouvelle fois devant la justice pour exiger réparation à la suite des contrôles au faciès dont ils se disent victimes. De Besançon, Lille, Paris, Lyon, ils ont pour point commun de faire l'objet de vérifications d'identité à répétition, une à deux fois par mois, parfois plus, et assurent que ces « contrôles de routine » se basent essentiellement sur des critères de race. Un jugement en leur faveur serait une première en France.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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