Arrivée il y a tout juste un an au ministère de l’éducation nationale, après la démission surprise de Benoît Hamon, Najat Vallaud-Belkacem a suscité beaucoup de scepticisme. Trop lisse, trop obsédée par la communication, la ministre qui a fait sa rentrée aujourd’hui peut pourtant se targuer d’avoir imposé – au forceps – la réforme du collège.
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« Ce« Ce qu’elle pense de l’éducation ? Franchement, on se le demande. Et sans doute qu’elle aussi ! », lançait il y a quelques mois un représentant syndical, au sortir d’un rendez-vous rue de Grenelle. À l’arrivée de Najat Vallaud-Belkacem, le ton était parfois railleur à l’égard de cette ministre si lisse, propulsée au ministère de l’éducation nationale au lendemain de la démission surprise, en août 2014, de Benoît Hamon resté trois mois à son poste.