Comment peut-on dormir tranquillement alors que chaque nuit, qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il tonne, un millier d’enfants dorment dans la « jungle » de Calais ? Un millier d’enfants, selon l’estimation de l’association L’Auberge des migrants, livrés à leur triste sort. Un millier d’enfants sans parents, sans oncle, ni tante, qui se débrouillent comme ils peuvent. Un millier d’enfants dont certains ont à peine dix ans. Combien de fois faudra-t-il répéter ce chiffre pour qu’il soit entendu ?
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