Il est beaucoup question du secret, à la Cour de justice de la République (CJR), où comparaît depuis mardi matin l’ancien ministre (PS) de la justice Jean-Jacques Urvoas. Celui-ci est jugé pour avoir, à trois jours du second tour de l’élection présidentielle de 2017, transmis au député (LR) Thierry Solère la « fiche d’action publique » dans laquelle la direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) résumait l’état d’avancement de l’enquête judiciaire qui le visait. Une fiche destinée au ministre de la justice et à ses proches collaborateurs.
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