Le gouvernement pensait-il vraiment que la gravité de la crise sanitaire et le choc provoqué par l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine auraient un effet anesthésiant sur l’opinion et que la nouvelle restriction des libertés publiques organisée par la prolongation de l’état d’urgence sanitaire serait mise en œuvre par ses soins sans trop de difficultés ? Si tel est le cas, c’est raté.
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