À Saint-Étienne, le maire, la sextape et le chantage politique Chronique

Au procès de la censure de Mediapart, un front uni contre une « catastrophe judiciaire »

Un procès capital s’est tenu, vendredi 25 novembre, au tribunal de Paris après la censure préalable dont Mediapart a été la cible. L’enjeu n’était pas un article, ni un journal ou même une profession, mais bien plus : la liberté d’informer le public. La décision sera connue le 30 novembre.

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Ce n’est pas tous les jours qu’il revient à la justice de mettre un terme à une censure sans précédent qu’elle a elle-même causée. Voilà en effet plus d’une semaine qu’à la suite d’une décision rendue par le tribunal judiciaire de Paris dans le secret et sans le moindre débat contradictoire, Mediapart est interdit de publier de nouvelles informations sur les méthodes politiques de l’actuel maire de Saint-Étienne, Gaël Perdriau (ex-Les Républicains). Un élu déjà au cœur de lourdes accusations sur un chantage à la sextape opéré pendant des années contre son ancien premier adjoint.

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