Éducation et enseignement supérieur Entretien

Sophie Orange: «A l'université, une sélection qui ne dit pas son nom»

Les futurs bacheliers sont en pleine procédure d'orientation et doivent décider de leur avenir professionnel. Alors que le système de l'orientation post-bac a été repensé cette année en vue de le rendre plus efficace en fonction des vœux des candidats et de l’offre de places disponibles, la sociologue Sophie Orange décrypte pour Mediapart les difficultés posées par cet outil. 

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Les lycéens de terminale et les étudiants en réorientation ont jusqu'au 20 mars pour formuler leurs vœux sur la plateforme APB (Admission post-bac), le nom du système informatique qui gère la répartition des futurs étudiants dans les filières d’enseignement supérieur. L'algorithme d'APB a souvent été critiqué pour sa complexité et son caractère aléatoire. Cette année, le système a été modifié en vue de corriger ces faiblesses. En effet, certains lycéens se sont retrouvés sans formation alors même qu'ils avaient demandé à intégrer des filières non sélectives par exemple.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal