Série Épisode 2 L’attentat à la préfecture de police de Paris

Tuerie à la préfecture de police : « J’ai eu l’impression qu’il était possédé par le diable »

Mickaël Harpon se considérait comme frappé par une triple peine : handicapé, agent (administratif et non policier) et musulman. À l’issue d’une nuit folle où il s’imagine dialoguer avec Allah, l’informaticien de la direction du renseignement de la préfecture de police de Paris va tuer quatre collègues.

Matthieu Suc

Le cadavre de Mickaël Harpon repose sous des cartons découpés le long de l’aile est de la cour du 19-Août-1944. Des policiers de la garde préfectorale ont préféré masquer le corps à la vue des collègues déjà traumatisés par ce qui vient de se passer.  

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