Justice Chronique

Procès de l’attentat de Nice : des interrogations subsistent sur le « déséquilibre mental » du tueur au camion

Un enquêteur de la sous-direction antiterroriste (SDAT) a témoigné sur ses recherches sur Mohamed Lahouaiej Bouhlel. Les interrogations persistent sur la santé mentale de l’auteur de l’attaque.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Derrière la vitre teintée, on sent la prudence et l’embarras. Entendu en vidéoconférence, l’enquêteur de la sous-direction antiterroriste (SDAT) aimerait bien répondre, mais c’est compliqué. Il doit dire qu’il ne sait pas, qu’il n’a que des hypothèses. Ce n’est pas de son ressort. Lahouaiej Bouhlel, l’auteur de l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice, avait-il toute sa tête ? Avait-il des antécédents psychiatriques ? Pourquoi a-t-il pris autant de photos de ses amis avant les faits ? Près de son camion, et à l’intérieur ? Voulait-il vraiment les compromettre ? Derrière son paravent, le policier aimerait qu’on ne le prenne pas non plus pour Madame Irma.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal