Némésis, ces féministes identitaires au service du « camp national »

Ces militantes d’extrême droite ont piégé le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, au soir du second tour en diffusant une photo à ses côtés. Un nouveau coup d’éclat pour ce groupe qui prétend défendre la cause des femmes en ciblant les hommes d’origine étrangère. 

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Némésis a piégé Jean-Michel Blanquer. Photographié entouré des militantes d’extrême droite « féminines et féministes » sur le Champ-de-Mars à Paris lors de la soirée de célébration de la victoire d’Emmanuel Macron dimanche 24 avril, le ministre a dénoncé deux jours plus tard une « grossière manipulation ». En quête permanente de médiatisation, ce collectif, composé exclusivement de femmes et né à l’automne 2019, a multiplié les happenings lors de la campagne présidentielle.

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