Crise de l’énergie : sans « compensation » de l’État, le scolaire et l’université en surchauffe

Pour affronter la flambée des prix de l’énergie dans tout le bâti scolaire et les établissements d’enseignement supérieur, collectivités et présidents d’université s’arrachent les cheveux. Le projet de loi de finances 2023 est cependant bien peu disert sur de possibles compensations de l’État et écarte l’hypothèse d’un bouclier tarifaire. En réponse, économies, bricolage ou carrément fermeture des établissements d’éducation.

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« Ne privilégiez pas le chauffage aux embauches ! » Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur, interrogée sur la hausse du prix de l’énergie et ses conséquences pour l’université, se voulait rassurante à la rentrée. Las, le projet de loi de finances, dévoilé lundi 26 septembre, est loin d’avoir calmé les inquiétudes des personnels et étudiant·es, qui craignent un hiver mouvementé.

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