Éducation et enseignement supérieur

Harcèlement scolaire : le gouvernement sonne une « mobilisation générale » délicate à mettre en œuvre

Élisabeth Borne a dévoilé un plan de lutte qui va bien au-delà des frontières de l’école. Plusieurs mesures posent cependant question quant à leur faisabilité, et en particulier la saisine systématique de la justice ou le bannissement des réseaux sociaux. Sur la formation, le compte n’y est pas non plus.

Mathilde Goanec

Il y a d’abord le discours public, nécessaire, a martelé Élisabeth Borne, lors d’une conférence de presse à l’hôtel de Matignon le 27 septembre. Une parole politique « implacable », pour que la « mobilisation générale » soit effective, pour que se « libère la parole » en matière de harcèlement scolaire.

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