« L’objectif n’était pas du tout financier, mais de faire reconnaître la discrimination et que cette décision améliore la situation pour les autres femmes », se réjouit Sandrine, 51 ans, jointe par téléphone. Soutenue par la CGT, l’employée avait entamé des démarches devant les prud’hommes de Paris en février 2015 estimant son évolution professionnelle freinée du fait de « son sexe, ses maternités et sa qualité de salariée à temps partiel ». Déboutée par les prud’hommes, elle avait fait appel.
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