Ils ne veulent plus de la « justice expéditive » dans laquelle la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) a, selon eux, basculé. Une dérive que le futur projet de loi sur l’asile et l’immigration, avec ses délais de recours raccourcis, devrait encore aggraver. C’est pourquoi les agents de la CNDA sont en grève depuis le 13 février (lire leur communiqué), soutenus par les avocats. Pour l’instant, le mouvement n’a pas atteint ses objectifs, notamment celui de faire baisser la charge de travail.
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