JusticeChronique

Au procès Paty, l’imam Chalghoumi règle ses comptes avec « l’homme le plus dangereux de France »

Le médiatique religieux est venu témoigner au procès de l’assassinat du professeur d’histoire-géographie pour évoquer le harcèlement dont il a été victime de la part d’Abdelhakim Sefrioui. Une campagne de haine similaire, selon lui, à celle subie par Samuel Paty.

Matthieu Suc

C’est l’histoire d’une haine entre deux hommes. Une haine qui a pour terreau des différends idéologiques et une jalousie. Cette haine s’est invitée mercredi 27 novembre au procès de l’assassinat de Samuel Paty. En milieu d’après-midi, l’imam Hassen Chalghoumi est venu témoigner contre son vieil ennemi, le prédicateur islamiste Abdelhakim Sefrioui, accusé d’association de malfaiteurs terroriste et qui encourt trente années de réclusion criminelle pour avoir amplifié (et cherché à surfer sur) la polémique qui ciblait un professeur.

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