France Analyse

Syriza, Podemos et l'héritage «eurocommuniste»

Pour comprendre la dynamique autant que les défis qui attendent Syriza et toute la gauche radicale, il est utile de se pencher sur le « moment eurocommuniste » de la fin des années 1970. À cinquante ans d’écart, des débats qui agitaient alors la gauche radicale resurgissent presque tels quels.

Fabien Escalona

29 janvier 2015 à 19h09

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Syriza vient de remporter une victoire historique en Grèce. Son ascension fulgurante comme celle de Podemos en Espagne suscitent un intérêt nouveau pour la gauche radicale, jusqu’alors plutôt négligée par les grands médias ou même le milieu académique. Il n’est pas anodin que l’une des principales composantes fondatrices de Syriza soit issue d’un parti communiste dit « de l’intérieur », lui-même fondé en 1968 sur une base eurocommuniste.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA