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Agnès Saal à l'Ina : il n'y avait pas que les taxis

Presque un an jour pour jour après sa nomination en Conseil des ministres, Agnès Saal a démissionné de la présidence de l'INA mardi 28 avril.

La rédaction de Mediapart

Presque un an jour pour jour après sa nomination en Conseil des ministres, Agnès Saal a démissionné de la présidence de l'INA mardi 28 avril. Elle était mise en cause pour ses dépenses de taxis de l'ordre de 41 000 euros en dix mois de présidence. Mais au-delà de ces notes de frais, certains choix de la présidence sont questionnés. Après sa nomination, Agnès Saal a choisi de fortement renouveler l'équipe de direction autour d'elle. L'arrivée récente de l'ancienne directrice de l'Ecole de journalisme de Sciences Po (limogée après un affaire de plagiat), Agnès Chauveau, comme déléguée à la stratégie éditoriale et éducative, un poste créé pour l'occasion, a notamment fait grincer des dents. 

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