Santé Analyse

Gynécologues accusés de viols : le dialogue est rompu entre médecins et patientes

La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.

Caroline Coq-Chodorge

La parole des victimes de violences obstétricales et gynécologiques n’a pas fini de déferler. La gynécologue et actuelle secrétaire d’État Chrysoula Zacharopoulou est à son tour gravement mise en cause : deux femmes ont porté plainte pour « viol » fin mai, a révélé Marianne, et une troisième le 28 juin pour « violences », selon « Quotidien ». Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris et confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne.

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