Après la mort de Nahel, la révolte et la répression des quartiers populaires

De Nanterre à Marseille, une troisième nuit de tensions et près de 700 interpellations

Couvre-feux, drones, interventions du Raid : l’État a déployé tous les moyens pour reprendre la main dans la nuit de jeudi à vendredi. Sans empêcher de nouveaux affrontements et des pillages. Plus de 660 interpellations ont été effectuées.

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Une troisième nuit de violences et de dégradations a secoué plusieurs villes de France, dans la nuit de jeudi à vendredi, après la mort, à Nanterre, de Nahel M., mineur abattu au volant par un policier. Pour endiguer une « généralisation » des violences urbaines, les autorités avaient mobilisé 40 000 policiers et gendarmes pour la nuit, dont ceux des forces d’intervention spéciales du Raid, du GIGN et de la BRI (brigade de recherche et d’intervention) dans plusieurs villes. Ce qui n’a pas empêché de nombreux débordements à travers le pays.

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Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

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