Après la mort de Nahel, la révolte des quartiers populaires Reportage

À la marche blanche pour Nahel, un cri de révolte plutôt qu’une minute de silence

À Nanterre, plusieurs milliers de personnes se sont rejoints ce jeudi 29 juin pour rendre hommage au jeune Nahel, tué par la police deux jours plus tôt. Plutôt qu’une longue marche silencieuse, les manifestants ont crié leur rage, celle de voir encore l’un d’entre eux mourir face à un policier. 

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

La famille du jeune Nahel M. voulait une marche blanche silencieuse, elle a eu une marée humaine bruyante, un grand cri du cœur. « C’est fini maintenant les minutes de silence, et de demander gentiment, c’est plus l’heure pour ça », lance un jeune homme pressé dans la foule. Ce jeudi 29 juin, à Nanterre, à quelques encablures du lieu où Nahel M. a été tué par un policier deux jours plus tôt, plusieurs milliers de personnes se sont réunies pour crier leur colère. Ils étaient 6 200 selon la préfecture de police, 20 000 selon les organisateurs de la marche blanche. 

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA