Depuis le 18 mars 2019, le service des urgences de l’hôpital Saint-Antoine est en grève, rejoint depuis par des services d’urgences dans toute la France. Malgré la naissance d’une coordination nationale, rassemblée samedi à Paris (lire ici le reportage de Caroline Coq-Chodorge), la ministre de la santé Agnès Buzyn n'a rien lâché, ce qui provoque la colère des personnels. « Nous protestons après une multitude d’agressions et en raison de conditions de travail déplorables », explique sur le plateau de cet « Espace de travail » Candice Lafarge, aide-soignante à l’hôpital Saint-Antoine.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous