Le 13 octobre dernier, le parquet vient à peine de classer son enquête sur Richard Ferrand que celui-ci plastronne : « J’ai toujours affirmé que je n’avais rien commis d’illégal ni d’immoral : la justice m’en donne acte. » En réalité, le procureur de Brest n’a délivré aucun brevet de moralité au patron des députés LREM. Outre que ce n’est pas son métier, il aurait eu quelque mal.
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