Après l’accord sur le Brexit, les Irlandais du Nord soulagés mais aussi lassés
Avec l’accord sur le Brexit, l’Irlande du Nord échappe aux pénuries alimentaires et au rétablissement d’une frontière physique avec le reste de l’île. Mais après quatre années de revirements, le cœur des Nord-Irlandais n’est pas à la fête. Certains espèrent la tenue rapide d’un référendum sur la réunification de l’île.
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Belfast et Strabane (Irlande du Nord, Royaume-Uni).– L’accord sur le Brexit qui entre en vigueur vendredi 1er janvier a été bien accueilli par le gouvernement nord-irlandais. Chose rare, dans cette province britannique au paysage politique fracturé, les deux partis principaux l’ont salué de concert. La chef du DUP unioniste et première ministre Arlene Foster s’est réjouie du « début d’une nouvelle ère dans la relation entre le Royaume-Uni et l’Union européenne ». Tandis que sa vice-première ministre et membre du Sinn Féin républicain Michelle O’Neill a elle aussi admis qu’il n’était dans l’intérêt de personne de quitter l’UE sans accord.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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