Près d’une semaine après le vote de la résolution du Conseil de sécurité des Nations unies appelant à une trêve de 30 jours dans toute la Syrie, afin de permettre le passage de convois humanitaires et l’évacuation des civils de la Ghouta orientale, non seulement les bombardements n’ont pas cessé mais aucun convoi n’a emprunté les corridors humanitaires.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous