Israël fait durer le harcèlement contre les migrants africains

Plongés une énième fois dans l’incertitude après l’annulation d’un plan d’accueil négocié avec l’ONU, les migrants africains d’Israël naviguent entre colère et désespoir. Dans le sud de Tel-Aviv, des militants anti-migrants entendent faire pression sur le gouvernement Netanyahou pour les pousser au départ.

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Bnei Brak, Tel-Aviv, envoyée spéciale.-  Inutile de tenter sa chance dans les bureaux officiels de l’intégration et de l’immigration de Bnei Brak, une banlieue du nord-est de Tel-Aviv. C’est à vingt minutes à pied de là, au fin fond d’une zone commerciale, que des dizaines de migrants africains viennent chaque jour dans l’espoir de renouveler leur visa ou de déposer une demande d’asile. Pour se rendre sur place, il leur faut passer par une station-service et marcher plusieurs mètres sur une route sans trottoir, en tâchant d’éviter les voitures des clients qui sortent du supermarché voisin.

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