Les 322 concurrents qui prendront dimanche à Jeddah le départ du 43e Rallye Dakar – héritier du Paris-Dakar devenu pour la deuxième année de suite une sorte de tour automobile d’Arabie saoudite – pensent probablement qu’ils vont participer à une compétition sportive. Pendant douze jours, ils peuvent croire que vont être mises à l’épreuve leur aptitude à naviguer dans le désert, leur maîtrise de la conduite dans le sable et leur résistance à la fatigue. Mais ils se trompent.
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