Il est minuit, ce 2 mai 2014. Gianni Infantino, secrétaire général de l’UEFA, envoie un courriel à Khaldoon Al Mubarak, président du club anglais de Manchester City. « Désolé de vous écrire aussi tard un vendredi soir », s’excuse-t-il presque. « Je vous remercie pour votre confiance. Vous savez que vous pouvez aussi me faire confiance », ajoute le numéro 2 de la fédération européenne de football.
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