Abandonnée à son sort, une Birmanie unie lutte à mains nues contre la junte militaire
Deux mois après le coup d’État, les services de communication et la circulation de l’information ont été réduits au minimum en Birmanie. Personne n’est épargné par le chaos, alors que l’armée a sorti l’artillerie lourde dans les villes et bombarde les zones rurales.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
YangonYangon, Pyay, Monywa, Lashio (Birmanie).– « Aujourd’hui, ils n’ont pas essayé de nous arrêter, ils voulaient juste nous tuer », écrit M. à 22 heures. Le vendredi 27 mars, Jour des forces armées qui commémore le début de la résistance des troupes birmanes à l’occupation japonaise en 1945, la junte a défilé dans la capitale Naypyidaw, tandis que ses sbires en uniforme étaient engagés dans un frénétique bain de sang.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.