La reconquête, le 27 décembre, de la ville de Ramadi par l’armée irakienne et les milices tribales sunnites de la province d’Al-Anbar confirme-t-elle un reflux militaire du califat autoproclamé d’Abou Bakr al-Baghdadi, qui la contrôlait depuis le 17 mai ? C’est ce que proclament les dirigeants irakiens, désormais en mesure de revendiquer un succès significatif de leur armée, dix-huit mois après l’humiliante débâcle de la chute de Mossoul, deuxième ville du pays, enlevée presque sans combat par les djihadistes de Daech (acronyme arabe de l’État islamique).
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