En Inde, les clients et les employés d’HSBC sont sur le qui-vive
En 2014, l’Inde a été le troisième contributeur aux profits de la banque britannique. Des auditeurs internes sont attendus au siège de Bombay, où les employés vont être interrogés à propos des 1 200 clients indiens qui cachaient leur argent en Suisse. Le gouvernement Modi réfléchit à une amnistie pour les fraudeurs au fisc.
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C’est l’un des carrefours les plus connus de Bombay. Son nom officiel, Hutatma Chowk – la place des Martyrs, en langue maharati – rend hommage à la centaine de personnes qui furent ici abattues par la police en janvier 1960, lors d’une manifestation appelant à la séparation des États du Gujarat et du Maharashtra (celle-ci adviendra quelques mois plus tard). En réalité, tout le monde l’appelle Flora Fountain, en raison de la fontaine monumentale qui y trône depuis le milieu du XIXe siècle. C’est là, dans le quartier colonial de Fort, longé par Mahatma Gandhi road, que se dresse le siège indien d’HSBC. Un bunker années trente qui fit, comme bien d’autres immeubles alentour parmi lesquels celui de la Reserve Bank of India, la fortune de Shapoorji Pallonji, l’un des promoteurs immobiliers les plus célèbres de la ville.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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