Nous avions laissé la Chambre des communes en fin d’après-midi, mardi 3 septembre, passablement échauffée par la déclaration du premier ministre de Sa Majesté, Boris Johnson, suivie des questions en rafale des députés – au cours desquelles un élu conservateur traversa la salle pour trouver refuge chez les libéraux-démocrates pro-européens. Ces quelques pas sur la moquette verte de Westminster signifiaient la fin de la majorité, qui ne tenait qu’à une voix, dont disposait M. Johnson (lire ici notre précédente chronique).
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