Nous avions quitté le premier ministre de Sa Majesté dans la soirée du mardi 3 septembre, sous le coup d’une première défaite : la Chambre des communes (qui n’est pas de Sa Majesté) venait de prendre le contrôle de l’agenda du Parlement, en vue de dicter sa conduite au gouvernement de Sa Majesté (lire ici notre dernière chronique).
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