La réalisatrice Khadija al-Salami a dû attendre deux ans avant d’avoir l’autorisation d’entrer dans son propre pays ravagé par la guerre et les bombardements saoudiens. Son documentaire montre pourtant peu d’images de violence. Il choisit de laisser le regard des enfants témoigner et la caméra les porte à la rencontre de leurs copains d’école, d’un chanteur de rap, d’une peintre… Presque à la manière d’un conte, ce film qui sera diffusé jeudi 8 février sur France 2 révèle aussi l’incroyable espoir qu’ils placent en l’Europe pour mettre fin au conflit. Pour Mediapart, la réalisatrice explique ses engagements.
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