À première vue, cela ressemble nettement à un fiasco. Le « boycott actif » de l’élection présidentielle ivoirienne décrété par une coalition d’opposants n’a pas permis de faire annuler le scrutin, comme ils l’espéraient. Au contraire, il a ouvert un boulevard au président sortant Alassane Ouattara, réélu avec 94 % des voix selon la commission électorale indépendante. Quant aux chefs des partis initiateurs du boycott, ils sont désormais arrêtés, menacés de poursuites pénales et leurs domiciles encerclés par les forces de l’ordre.
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