Vue de Géorgie, la culture russe s’avère dominatrice, intrusive, impériale

L’intelligentsia géorgienne, pro-Ukraine tout en vivant sous un gouvernement pro-Poutine, n’en démord pas : la culture russe, parfois perçue comme universelle et à défendre comme telle, relève d’abord d’un instrument de domination aux mains du Kremlin.

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Tbilissi (Géorgie).– Il a été directeur de la bibliothèque nationale de son pays, il a traduit Homère et Aristophane, il a fondé en 1978, au temps de l’URSS, un parti clandestin (Les Républicains) réclamant l’indépendance de la Géorgie, le respect des droits de l’homme et l’instauration d’une économie de marché. Il a bien entendu été envoyé, en 1983, dans un camp de travail, à Barachevo, en République autonome de Mordovie, pour « activités antisoviétiques ».

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