Royaume-Uni : pourquoi les travaillistes ne profitent pas du naufrage de Boris Johnson

Malgré la chute du leader conservateur, le chef de l’opposition travailliste, Keir Starmer, peine à susciter l’enthousiasme. Y compris dans son propre parti, « démoralisé par l’une des plus grandes défaites de son histoire en 2019 et ravagé par les divisions », rappelle Mark Wickham-Jones, professeur de sciences politiques.

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Londres (Royaume-Uni).– « Ils ne peuvent pas continuer à l’infliger au pays. » Le leader de l’opposition travailliste, Keir Starmer, a prévenu jeudi qu’il n’accepterait pas que Boris Johnson, « déclaré inapte » par son propre parti, reste premier ministre par intérim pendant des mois, jusqu’à la désignation du nouveau chef (ou de la nouvelle cheffe) des conservateurs. Il déposera, s’il faut en passer par là, une motion de défiance contre le gouvernement.

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