Le climat des luttes antiracistes au Portugal s'est fortement assombri cet été. Trois députées et six autres activistes de l'antiracisme ont été menacés de mort, dans un courrier électronique envoyé début août à SOS Racisme au Portugal. Le message était signé du nom d'un collectif d'extrême droite jusqu'alors peu connu, Nova Ordem de Avis-Resistência Nacional, en référence, apparemment, à un ordre moyenâgeux.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous