La terrible détention des deux chercheuses otages en Iran
Pas de libération en vue pour la chercheuse franco-iranienne Fariba Adelkhah, détenue dans une cellule surpeuplée de la prison d’Evin à Téhéran, et l’universitaire australo-britannique Kylie Moore-Gilbert, transférée dans un effroyable centre pour droits communs dans le désert.
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Les nouvelles en provenance des prisons iraniennes sont rares et quand elles parviennent à Paris ou Londres, elles sont souvent mauvaises. C’est le cas pour l’anthropologue franco-iranienne Fariba Adelkhah, condamnée à cinq ans de prison, et dont les conditions de détention à la tristement célèbre prison d’Evin sont très difficiles. Elles le sont plus encore pour la jeune universitaire australo-britannique Kylie Moore-Gilbert, qui purge une peine de dix années de réclusion criminelle : elle vient d’être transférée d’Evin à la plus terrible des prisons pour femmes du pays, celle de Ghartchak, en plein désert au sud de la capitale.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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