La diplomatie européenne, régulièrement critiquée pour son inconsistance, cherche à muscler son jeu. Les ministres des affaires étrangères de l’Union ont validé lundi la mise en place d’un nouveau régime de sanctions contre les violations des droits humains, une avancée qualifiée d’« historique » par Josep Borrell, le socialiste espagnol à la tête de la politique étrangère et de sécurité de l’UE depuis l’an dernier.
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